Henri Vernès, l’écrivain talentueux

Henri Vernès, l’écrivain talentueux

Henri Vernès est l’auteur de la série d’aventure des Bob Morane, et de la série des Don, la série érotique. C’est sans doute l’un des derniers grands romanciers populaires de romans d’aventures francophones.

Les aventures de Bob Morane ont fait l’objet d’adaptations en bande dessinée, en série télévisée et en jeux vidéos.

La naissance de Bob Morane

De son vrai nom Charles-Henri Dewisme Vernes, Henri Vernès est né le 16 octobre 1918 à Ath. À 19 ans, en 1937, il interrompt ses études et fait une petite « fugue » en Chine puis après guerre il exerce la profession de journaliste freelance pour une agence de presse américaine. Il voyage et collabore alors à de nombreux journaux et revues tout en écrivant des contes et des feuilletons dans des magazines, ainsi que des romans policiers. C’est en 1953 que Henri Vernès créa le personnage de Bob Morane à la demande de Jean-Jacques Schellens, l’ancien directeur littéraire des éditions Marabout. Celui-ci recherchait pour sa nouvelle collection nommée « Marabout-Junior » un auteur pouvant lui créer « un personnage à suite » qui paraitrait en librairie tous les deux mois. Il désirait que les jeunes lecteurs de cette nouvelle série Marabout puissent acheter leur livre en librairie régulièrement et à date prévue. Ce fut un succès.

Un Bob Morane tous les deux mois

Henri Vernès est l’un des rares auteurs contemporains à avoir pu écrire à une telle cadence aussi infernale.

C’était initialement un journaliste qui collaborait à plusieurs journaux. Il réutilisera alors certains de ses articles comme principale source d’inspiration.

Son œuvre de plus de 250 volumes s’étend ainsi sur plus d’un demi-siècle et qu’il est loin le jour où il publia son premier récit en 1944 ! Le premier Bob Morane, La vallée infernale, remonte à 1953. Quant au dernier volume édité à ce jour, il date de 2005 et s’intitule La porte du cauchemar.

Une vie consacrée à Bob Morane

Ce passionné de l’écriture a vraiment dédié sa vie à son héros et il l’a mis en action dans 215 romans au côté de son infatigable compagnon Bill Ballantine. Son imagination lui a aussi permis d’inventer de nombreux ennemis occasionnels tels que les coupeurs de têtes, l’homme invisible… ou réguliers à l’instar de l’ombre Jaune, Orgonetz, Miss Yalang-Ylang, etc.). Son imagination très fertile lui a permis aussi de créer de nouveaux pays étrangers, la lutte de Bob contre des dictateurs, des univers parallèles et des situations imaginaires. En 2012, l’éditeur québécois Bryan Perro a republié le tout premier roman d’Henri Vernès, La Porte ouverte, écrit entre février et décembre 1942. Perro éditeur republie également, sous le titre Bob Morane au Québec, les trois romans écrits par Vernès à la suite de ses séjours au Québec.

Bibliographie

Bob Morane

Bob Morane n° 1 : La vallée infernale ;

Bob Morane n° 2 : La galère engloutie ;

Bob Morane n° 3 : Sur la piste de Fawcett ;

Bob Morane n° 4 : La griffe de feu ;

Bob Morane n° 5 : Panique dans le ciel ;

Bob Morane n° 6 : L’héritage du flibustier ;

Bob Morane n° 7 : Les faiseurs de déserts ;

Bob Morane n° 8 : Le sultan de Jarawak ;

Bob Morane n° 9 : Oasis K ne répond plus ;

Bob Morane n° 10 : La vallée des brontosaures ;

Bob Morane n° 11 : Les requins d’acier ;

Bob Morane n° 12 : Le secret des Mayas ;

Bob Morane n° 13 : La croisière du Mégophias ;

Bob Morane n° 14 : Opération Atlantide ;

Bob Morane n° 15 : La marque de Kali ;

Bob Morane n° 16 : Mission pour Thulé ;

Bob Morane n° 17 : La cité des sables ;

Bob Morane n° 18 : Les monstres de l’espace ;

Bob Morane n° 19 : Le masque de jade ;

Bob Morane n° 20 : Les chasseurs de dinosaures ;

Bob Morane n° 21 : Échecs à la Main noire ;

Bob Morane n° 21 bis : L’œil d’émeraude (la nouvelle) ;

Bob Morane n° 22 : Les démons des cataractes ;

Bob Morane n° 23 : La fleur du sommeil ;

Bob Morane n° 24 : L’idole verte ;

Bob Morane n° 25 : L’empereur de Macao ;

Bob Morane n° 26 : Tempête sur les Andes ;

Bob Morane n° 27 : L’orchidée noire ;

Bob Morane n° 28 : Les compagnons de Damballah ;

Bob Morane n° 29 : Les géants de la Taïga ;

Bob Morane n° 30 : Les dents du tigre 1 ;

Bob Morane n° 31 : Les dents du tigre 2 ;

Bob Morane n° 32 : Le gorille blanc ;

Bob Morane n° 33 : La couronne de Golconde ;

Bob Morane n° 34 : Le maitre du silence ;

Bob Morane n° 35 : L’Ombre Jaune ;

Bob Morane n° 36 : L’ennemi invisible ;

Bob Morane n° 37 : La revanche de l’OJ ;

Bob Morane n° 38 : Le châtiment de l’OJ ;

Bob Morane n° 39 : L’espion aux 100 visages ;

Bob Morane n° 40 : Le diable du Labrador ;

Bob Morane n° 41 : L’homme aux dents d’or ;

Bob Morane n° 42 : La vallée des mille soleils ;

Bob Morane n° 43 : Le retour de l’OJ ;

Bob Morane n° 44 : Le démon solitaire ;

Bob Morane n° 45 : Les mangeurs d’atomes ;

Bob Morane n° 46 : Le temple des crocodiles ;

Bob Morane n° 47 : Le tigre des lagunes ;

Bob Morane n° 48 : Le dragon des Fenstone ;

Bob Morane n° 49 : Trafic aux Caraïbes ;

Bob Morane n° 50 : Les sosies de l’OJ ;

Bob Morane n° 51 : Formule X33 ;

Bob Morane n° 52 : Le lagon aux requins ;

Bob Morane n° 53 : Le masque bleu ;

Bob Morane n° 54 : Les semeurs de foudre ;

Bob Morane n° 55 : Le club des longs-couteaux ;

Bob Morane n° 56 : La voix du mainate ;

Bob Morane n° 57 : Les yeux de l’OJ ;

Bob Morane n° 58 : La guerre des baleines ;

Bob Morane n° 59 : Les sept croix de plomb ;

Bob Morane n° 60 : Opération Wolf ;

Bob Morane n° 61 : La rivière de perles ;

Bob Morane n° 62 : La vapeur du passé ;

Bob Morane n° 63 : L’héritage de l’OJ ;

Bob Morane n° 64 : Mission à Orly ;

Bob Morane n° 65 : L’œil d’émeraude ;

Bob Morane n° 66 : Les joyaux du maharadja ;

Bob Morane n° 67 : Escale à Félicidad ;

Bob Morane n° 68 : L’ennemi masqué ;

Bob Morane n° 69 : SSS ;

Bob Morane n° 70 : Le camion infernal ;

Bob Morane n° 71 : Terreur à la Manicouagan ;

Bob Morane n° 72 : Les guerriers de l’OJ ;

Bob Morane n° 73 : Le président ne mourra pas ;

Bob Morane n° 74 : Le secret de l’antarctique ;

Bob Morane n° 75 : La cité de l’OJ ;

Bob Morane n° 76 : Les jardins de l’OJ ;

Bob Morane n° 77 : Le collier de Civa ;

Bob Morane n° 78 : Organisation SMOG ;

Bob Morane n° 79 : Le mystérieux dr Xhatan ;

Bob Morane n° 80 : Xhatan maitre de la lumière ;

Bob Morane n° 81 : Le roi des archipels ;

Bob Morane n° 82 : Le samouraï aux 1000 soleils ;

Bob Morane n° 83 : Un parfum d’ylang-ylang ;

Bob Morane n° 84 : Le talisman des voivodes ;

Bob Morane n° 85 : Le cratère des immortels ;

Bob Morane n° 86 : Les crapauds de la mort ;

Bob Morane n° 87 : Les papillons de l’OJ ;

Bob Morane n° 88 : Alias MDO ;

Bob Morane n° 89 : L’empreinte du crapaud ;

Bob Morane n° 90 : La forteresse de l’OJ ;

Bob Morane n° 91 : Le satellite de l’OJ ;

Bob Morane n° 92 : Les captifs de l’OJ ;

Bob Morane n° 93 : Les sortilèges de l’OJ ;

Bob Morane n° 94 : Les mangeurs d’âmes ;

Bob Morane n° 95 : La terreur verte ;

Bob Morane n° 96 : Menace sous la mer ;

Bob Morane n° 97 : Les masques de soie ;

Bob Morane n° 98 : L’oiseau de feu ;

Bob Morane n° 99 : Les bulles de l’OJ ;

Bob Morane n° 100 : Commando Épouvante ;

Bob Morane n° 101 : La piste de l’ivoire ;

Bob Morane n° 102 : Les tours de cristal ;

Bob Morane n° 103 : Les cavernes de la nuit ;

Bob Morane n° 104 : L’île du passé ;

Bob Morane n° 105 : Une rose pour l’OJ ;

Bob Morane n° 106 : Rendez-vous à nulle part ;

Bob Morane n° 107 : Les contrebandiers de l’atome ;

Bob Morane n° 108 : L’archipel de la terreur ;

Bob Morane n° 109 : La vallée des crotales ;

Bob Morane n° 110 : Les spectres d’Atlantis ;

Bob Morane n° 111 : Ceux-des-roches-qui-parlent ;

Bob Morane n° 112 : Poison blanc ;

Bob Morane n° 113 : Krouic ;

Bob Morane n° 114 : Piège au Zacadalgo ;

Bob Morane n° 115 : La prison de l’OJ ;

Bob Morane n° 116 : Le secret des 7 temples ;

Bob Morane n° 117 : Zone « Z » ;

Bob Morane n° 118 : Panne sèche à Serado ;

Bob Morane n° 119 : L’épée du paladin ;

Bob Morane n° 120 : Le sentier de la guerre ;

Bob Morane n° 121 : Les voleurs de mémoire ;

Bob Morane n° 122 : Les poupées de l’OJ ;

Bob Morane n° 123 : Opération « Chevalier Noir » ;

Bob Morane n° 124 : La mémoire du Tigre ;

Bob Morane n° 125 : La colère du Tigre ;

Bob Morane n° 126 : Les fourmis de l’OJ ;

Bob Morane n° 127 : Les murailles d’Ananké ;

Bob Morane n° 128 : Les damnés de l’or ;

Bob Morane n° 129 : Le masque du crapaud ;

Bob Morane n° 130 : Les périls d’Ananké ;

Bob Morane n° 131 : Guérilla à Tumbaga ;

Bob Morane n° 132 : La tête du serpent ;

Bob Morane n° 133 : El Matador ;

Bob Morane n° 134 : Les Anges d’Ananké ;

Bob Morane n° 135 : Le poison de l’OJ ;

Bob Morane n° 136 : Le revenant des Terres Rouges ;

Bob Morane n° 137 : Les jeux de l’OJ ;

Bob Morane n° 138 : La malle à malice ;

Bob Morane n° 139 : L’OJ fait trembler la terre ;

Bob Morane n° 140 : Mise en boite maison ;

Bob Morane n° 141 : Les caves d’Ananké ;

Bob Morane n° 142 : Dans le triangle des Bermudes ;

Bob Morane n° 143 : La prisonnière de l’OJ ;

Bob Morane n° 144 : La griffe de l’OJ ;

Bob Morane n° 145 : La tanière du Tigre ;

Bob Morane n° 146 : Les plaines d’Ananké ;

Bob Morane n° 147 : Le trésor de l’OJ ;

Bob Morane n° 148 : L’OJ et l’héritage du Tigre ;

Bob Morane n° 149 : Le soleil de l’OJ ;

Bob Morane n° 150 : Trafics à Paloma ;

Bob Morane n° 151 : Les loups sur la piste ;

Bob Morane n° 152 : Snake ;

Bob Morane n° 153 : Trois petits singes ;

Bob Morane n° 154 : l’œil du samouraï ;

Bob Morane n° 155 : Les yeux du brouillard ;

Bob Morane n° 156 : L’arbre de la vie ;

Bob Morane n° 157 : L’OJ s’en va-t’en guerre ;

Bob Morane n° 158 : L’Exterminateur ;

Bob Morane n° 159 : Les Berges du Temps ;

Bob Morane n° 160 : La nuit des négriers ;

Bob Morane n° 161 : Le jade de Séoul ;

Bob Morane n° 162 : La cité des rêves ;

Bob Morane n° 163 : Rendez-vous à Maripasoula ;

Bob Morane n° 164 : La panthère des hauts plateaux ;

Bob Morane n° 164 bis : La dernière rosace ;

Bob Morane n° 165 : La guerre du Cristal ;

Bob Morane n° 165 bis : Retour au crétacé ;

Bob Morane n° 166 : Les larmes du soleil ;

Bob Morane n° 167 : Les démons de la guerre ;

Bob Morane n° 167 bis : La mort de l’épée ;

Bob Morane n° 167 ter : La jeunesse de l’OJ /1 ;

Bob Morane n° 167 quarto : Un collier pas comme les autre ;

Bob Morane n° 168 : Les déserts d’Amazonie ;

Bob Morane n° 168 bis : La jeunesse de l’OJ /2 ;

Bob Morane n° 169 : Betelgeuse et cie ;

Bob Morane n° 169 bis : La jeunesse de l’OJ /3 ;

Bob Morane n° 170 : Le réveil de Kukulkan ;

Bob Morane n° 171 : L’anneau de Salomon ;

Bob Morane n° 172 : Les mille et une vies de l’OJ ;

Bob Morane n° 173 : La bête hors des âges ;

Bob Morane n° 174 : L’antre du Crapaud ;

Bob Morane n° 175 : Yin=yang ;

Bob Morane n° 176 : Les pièges du Cristal ;

Bob Morane n° 177 : La guerre du Pacifique n’aura pas lieue ;

Bob Morane n° 178 : Santeria drums ;

Bob Morane n° 179 : Demonia maxima ;

Bob Morane n° 180 : Le pharaon de Venise ;

Bob Morane n° 181 : L’œil de l’iguanodon ;

Bob Morane n° 182 : Les passagers du miroir ;

Bob Morane n° 183 : Le dernier Massaï ;

Bob Morane n° 184 : La fille de l’anaconda ;

Bob Morane n° 185 : Le portrait de la Valkyrie ;

Bob Morane n° 186 : Les esprits du vent et de la peste ;

Bob Morane n° 187 : L’anse du pirate ;

Bob Morane n° 188 : L’épée de D’artagnan ;

Bob Morane n° 189 : La plume de cristal ;

Bob Morane n° 190 : Le cri de la louve ;

Bob Morane n° 191 : L’émissaire du 6 juin ;

Bob Morane n° 192 : La lumière de l’OJ ;

Bob Morane n° 192 bis : La résurrection de l’Ombre Jaune ;

Bob Morane n° 193 : Aux origines de l’imaginaire ;

Bob Morane n° 194 : La porte du cauchemar ;

Bob Morane n° 195 : Retour à Overlord ;

Bob Morane n° 196 : L’affaire du Louvre ;

Bob Morane n° 197 : Chambre 312… ;

Bob Morane n° 198 : Les Ruines de Barkalia ;

Bob Morane n° 199 : Les Cavaliers de l’Apocalypse ;

Bob Morane n° 200 : Les secrets de l’Ombre Jaune ;

Bob Morane n° 201 : Escale forcée ;

Bob Morane n° 202 : Les nuits de l’Ombre Jaune ;

Bob Morane n° 203 : L’Ombre du lieutenant ;

Bob Morane n° 204 : Mngwa ! ;

Bob Morane n° 205 : Une voix d’enfant ;

Bob Morane n° 206 : L’énigme du Pôle 1 – la chose dans les glaces ;

Bob Morane n° 206 : L’énigme du Pôle 2 — Les Hommes sans Passé ;

Bob Morane n° 207 : L’idole atlante ;

Bob Morane n° 208 : Les Géants de Mu ;

Bob Morane n° 209 : Un beau dimanche à Bruxelles ;

Bob Morane n° 210 : Le Kraken ;

Bob Morane n° 211 : Le manuscrit explosif ;

Bob Morane n° 212 : Quand le chauve sourit ;

Bob Morane n° 213 : Murder Party ;

Bob Morane n° 214 : Les perles de l’Oncle Robert ;

Bob Morane n° 215 : Un étrange trio ;

Bob Morane n° 216 : Le piège infernal 1/3 ;

Bob Morane n° 217 : La bête aux 6 doigts ;

Bob Morane n° 218 : Une mystérieuse proposition ;

Bob Morane n° 219 : La pyramide des Ratapignata ;

Bob Morane n° 220 : Le piège infernal 2/3 ;

Bob Morane n° 221 : Le piège infernal 3/3 ;

Bob Morane n° 222 : Game Over ;

Bob Morane n° 223 : Alerte aux V1 ;

Bob Morane n° 224 : Le Clone d’Hash-Keh-Neh ;

Bob Morane n° 225 : Coup de théâtre ;

Bob Morane n° 226 : Une mauvaise surprise ;

Bob Morane n° 227 : Le monstre du métro.

Sous le nom de Henri Vernes

— La Porte ouverte, 1942

— La belle nuit pour un homme mort, 1949 ;

— Des hommes sur un radeau, 1955 ;

— Les compagnons de la Flibuste, 1956 ;

— Bases clandestines, 1957 ;

— Les rescapés de l’Eldorado, 1957 ;

— Les Zombis ou le secret des morts-vivants, 1957 ;

— Les conquérants de l’Everest, 1953.

— Bob Morane au Québec, 2012 ;

— Mémoires, 2012 ;

Sous le pseudonyme de Cal W. Bogar

— La véritable histoire de Will Wiliamson, 1946 ;

Sous le pseudonyme de Gaston Bogart

— Brandy Street, 1953 ;

Sous le pseudonyme de Ray Stevens

— À la recherche du monde perdu, 1954 ;

— Le gout du malheur, 1994 ;

Sous le pseudonyme de Jacques Seyr

— Les conquérants du Nouveau Monde, 1954 ;

— La hache de guerre, 1956 ;

— L’Or des Incas, 1956 ;

Sous le nom de Charles Dewisme

— La forêt du temps, 2009 ;

Sous le pseudonyme de Jacques Colombo

Don n°1 : Le fauve de Rangoon ;

Don n°2 : L’épouvantable épouvantail ;

Don n°3 : Ixygreczed ;

Don n°4 : Chromosome « Y » ;

Don n°5 : L’ange de Managua ;

Don n°6 : La queue du dragon ;

Don n°7 : Café no ! Marimba si ! ;

Don n°8 : « K » comme tueur ;

Don n°9 : Manneken-Pis sur jungle ;

Don n°10 : Palomita Paloma ;

Don n°11 : Supertueur.

La vidéo de Bob Morane

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Maud Frère, la littérature enfantine

Maud Frère, la littérature enfantine

Maud Frère, romancière belge de langue française, écrivit des récits dont la majorité des héroïnes sont des femmes orphelines de l’un ou des deux parents. Maud frère vise un renversement parodique des idées reçues sur le dimorphisme sexuel.

Une Bruxelloise diplômée en lettre

Née à Bruxelles, elle perd ses parents en 1942 ce qui l’empêche de continuer ses études de lettres. Elle a préféré suivre une formation au sein de l’Institut d’études sociales. Sur le plan professionnel, elle a été chargée par l’assistance sociale. Elle a épousé l’ingénieur Edmond Frère en 1945. À cette époque elle entreprend d’écrire ses premiers romans pour la jeunesse.

La consécration littéraire de Maud Frère

Elle se fit connaitre grâce à un récit destiné aux adolescents et intitulé Vacances secrètes. Certains de ces textes sont ensuite parus dans des revues, des albums pour enfants.

Elle a reçu le prix Victor Rossel, Veillon et Georges Garnir. Elle a publié 8 romans pendant la période de 1956 et 1972. Elle se distingue par son style d’écriture unique pour elle, la fin de ses romans s’ouvre sur un nouveau départ vers une nouvelle histoire à paraitre.

La particularité de chaque récit de Maud Frère, consiste à parler de la difficulté d’être une femme et d’être « singulière ». La majorité de ses héroïnes sont ainsi des orphelines qui ont perdu soient leurs mères, soient leurs pères soit, plus tragiquement, carrément les deux. Autre spécificité, si les romans sont indépendants les uns des autres, dans la majorité de ses œuvres on trouve toujours « la femme » dans tous ses états : femme au foyer, femme au travail, femme intellectuelle, femme religieuse… mais que l’on ne s’y trompe pas : les livres de Maud Frère sont également des histoires d’amour et elles décrivent des sentiments allant de l’amour de la vie, à l’amour de s’ouvrir sur autrui ou de s’isoler en soi…

Morte le 17 octobre 1979, Maud Frère demeurera la romancière belge de la fragilité et du bonheur d’être.

Bibliographie

Romans

— Vacances secrètes, 1956 ;

— L’herbe à moi, 1957 ;

— La grenouille, prix Charles Veillon, 1959 ;

— La délice, adapté au cinéma par Jean-Pierre Berckmans (Isabelle devant le désir), 1961 ;

— Les jumeaux millénaires, prix Victor-Rossel, 1962 ;

— Guido, 1965 ;

— Le temps d’une carte postale, 1966 ;

— L’ange aveugle, 1970 ;

— Des nuits aventureuses, 1972.

Livres pour enfants : Véronique

— Le journal de Véronique 1 :

— Mon chien, mon cousin et les autres, 1964 ;

— Le journal de Véronique 2 : Mon école, 1964 ;

— Le journal de Véronique 3 : Mon anniversaire, 1964 ;

— Le journal de Véronique 4 : Un après-midi chez Arlette, 1965 ;

— Le journal de Véronique 5 : Premier jour de vacances, 1965 ;

— Le journal de Véronique 6 : La cabane, 1965 ;

— Le journal de Véronique 7 : Noël, 1966 ;

— Le journal de Véronique 8 : La mer, 1966 ;

— Le journal de Véronique 9 : Odilon, les oreillons, 1967.

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Paul Emond, le romancier philosophe

Paul Emond, le romancier philosophe

Paul Emond trouve très tôt son bonheur au travers des romans de Jules Verne.

C’est un romancier et un auteur dramatique dont la majorité des créations ont été publiées par les éditions Lansman. Son premier roman, « La danse du fumiste », a été publié en 1979.

Le romancier philosophe

Paul Emond est né en 1944 à Bruxelles. Il est un docteur en philosophie et lettres. Cet essayiste belge est dévoré par les grands auteurs.

Ses études de lettres lui ont permis de concrétiser sa passion en d’obtenir un diplôme en philologie romane. Devenu assistant au sein de l’université catholique de Louvain, il a continué ses études doctorales avec pour thème l’œuvre du romancier Jean Cayrol. Il partit alors en Tchécoslovaquie où il s’est alors passionné par les activités culturelles et théâtrales durant ses 4 ans où il y séjourna.

Le philosophe, l’homme de théâtre, et l’amour

Plusieurs autres œuvres ont pris son attention telles que les textes de Vancura, de Hrabal ou bien encore de Karel Capek. Mais À Prague, il se marie avec Maja Polackova qui l’incite à alors à produire, enfin une véritable œuvre d’artiste plasticien.

En fait, écrivain dans l’âme, Paul Emond était déjà devenu en 1980 attaché scientifique aux Archives et musée de la Littérature. Il était alors chargé des archives des pièces théâtrales. Très vite, il s’est donc également tourné vers le théâtre. Sa première pièce, « Les Pupilles du tigre », fut jouée en 1986, puis ce fut le tour de « Convives » en 1989. Une vingtaine d’autres pièces suivent. À l’Institut des arts de diffusion (IAD), il a ensuite occupé la fonction d’enseignant à temps partiel comme professeur à l’école des arts visuels de la cambre. Paul Emond a reçu le prix Herman Closso.

Bibliographie

Romans

— La danse du fumiste (Prix de la CF de Belgique), 1979 ;

— Plein la vue, Éditions Jacques Antoine, 1981 ;

— Paysage avec homme nu dans la neige, 1982 ;

— Tête à tête, 1989 ;

— La visite du plénipotentiaire culturel à la basilique des collines, 2005.

Autres fictions narratives

— « Profils presque perdus », dans Maja Polakova, L’homme des villes, 1998 ;

— « Abraham et la femme adultère », dans Jacques De Decker et Paul Emond, Histoires de tableaux, 2005 ;

— L’homme aux lunettes blanches et autres récits, 2011 ;

— Les vingt-quatre victoires d’étape du peintre Belgritte, 2013.

Théâtre

— Les pupilles du tigre, 1986 ;

— Convives (Prix triennal du théâtre 1993), 1990 ;

— Inaccessibles amours, 1992 ;

— Moi, Jean-Joseph Charlier, dit Jambe de bois, héros de la révolution belge, 1994 ;

— Malaga, 1995 ;

— Caprices d’images, 1996 ;

— À l’ombre du vent, 1998 ;

— Le Royal, 1998 ;

— Grincements et autres bruits, 1999 ;

— Quatuor, 1999 ;

— Seul à Waterloo, seul à Sainte-Hélène, 2000 ;

— Contes de l’errance 1 (avec Gilles Boulan et Jean-Daniel Magnin), 2002 ;

— Survie dans Cinq petites comédies pour une Comédie, 2003 ;

— Contes de l’errance 2 (avec Gilles Boulan et Jean-Daniel Magnin), 2004 ;

— Les iles flottantes, 2005 ;

— Le sourire du diable, 2007 ;

— Histoire de l’homme, tome 1, 2007 ;

— Il y a des anges qui dansent sur le lac, 2009 ;

— Mon chat s’appelle Odilon, 2009 ;

— La danse du fumiste (adaptation du roman du même nom), 2011.

Traductions et adaptations théâtrales

— Le Roi Lear de Shakespeare, 1994 ;

— Le Marchand de Venise de Shakespeare, 1995 ;

— Les Bacchantes d’Euripide, 1997 ;

— La Grande Magie d’Eduardo de Filippo, 2003 ;

— Tristan et Yseut, 2007 ;

— Nous sommes tous des K (libre adaptation du Château de Kafka), 2013.

Essais

— La Mort dans le miroir, 1973 ;

— Le théâtre et le froid, 1988 ;

— Lettre à l’acteur au pied de nez, 1994 ;

— Une forme du bonheur, 1998.

Traductions romanesques

— Une saison à Paris de Dominik Tatarka, traduit du slovaque avec Maja Polackova, 1993 ;

— Le Producteur de bonheur de Vladimir Minac, traduit du slovaque avec Maja Polackova, 1995.

La vidéo de Paul Emond

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Charles De Coster, la légende d’Ulenspiegel

Charles De Coster, la légende d’Ulenspiegel

Charles De Coster est un écrivain reconnu internationalement après plusieurs succès dans des centaines d’éditions. Il est surtout l’auteur de la légende d’Ulenspiegel, la première grande œuvre littéraire créée en Belgique francophone après l’indépendance du pays en 1830.

Charles De Coster, la naissance d’une certaine idée de l’indépendance

Charles De Coster est né à Munich le 27 aout 1827 d’un père flamand et d’une mère wallonne. Il fit ses études universitaires à l’Université libre de Bruxelles où il apprit les notions de la démocratie dans un enseignement teintées toutefois d’un certain anticléricalisme.

Il a commencé sa carrière par le journalisme en publiant plusieurs articles. Il a ensuite été affecté à la commission royale où il a occupé le poste de secrétaire à la commission pour la publication des anciennes lois et ordonnances traitant de la période de 1860 à 1864. Grâce à l’intervention du docteur Louis Watteau, on lui proposa ensuite d’écrire des notes relatives aux diverses manifestations du fanatisme religieux dans l’histoire.

De la société des Joyeux à la Revue trimestrielle

Dès 1847, à l’âge de 20 ans, avec un petit groupe d’amis, il avait fondé la Société des Joyeux. En 1850, il adhère au « Lothoclo ». C’est un groupe plus restreint dont le professeur de l’Université de Bruxelles Eugène Van Bemmel est nommé animateur. Charles De Coster a alors participé à la publication de sa « Revue Nouvelle ».

En 1854, Van Bemmel fonde l’imposante « Revue trimestrielle ». La revue a alors  donné à Charles De Coster un superbe tremplin pour cibler un public plus large et pour lui, lui permettre de mieux diffuser ses vers : il était également poête.

Le répétiteur des contes et légendes

Charles de Costera avait longuement cherché à travailler comme répétiteur à l’école royale militaire, et enfin, à 40 ans, en 1870, il a réussi à décrocher ce poste tant convoité. Écrivain belge d’expression française, De Coster est aussi auteur et adaptateur de légendes et de contes. En 1878, De Coster demande à Xavier Mellery de réaliser des illustrations de l’ile de Marken pour le magazine Tour du Monde.

Une année après, Charles De Coster est inhumé au cimetière d’Ixelles, à Bruxelles. Il mourra pauvre et méconnu avant d’être redécouvert par une postérité très posthume.

Bibliographie

— Contes brabançons (1861) ;
— Légendes flamandes (1861) ;
— La Légende et les aventures héroïques, joyeuses et glorieuses d’Ulenspiegel et de Lamme Goedzak au Pays de Flandre et ailleurs (1867) ;
— Tyl Ulenspiegel (appelé également en version française Till l’espiègle), avec des illustrations de Nicolas Eekman, (1946) ;
— La Légende d’Ulenspiegel au pays de Flandre et ailleurs (2003).

Les vidéos de Charles De Coster

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André Baillon, l’écrivain de la folie

André Baillon, l’écrivain de la folie

André Baillon, est un écrivain belge qui fut classé successivement comme écrivain paysan et comme écrivain prolétarien. C’était surtout l’écrivain de la folie et du malêtre.

André Baillon est né en 1875 et a perdu ses parents en bas âge. Pris en charge par son grand-père maternel, il fut alors élevé par sa tante, « Mlle Autorité », une grande bigote qui l’amena au collège chez les Jésuites. Jeune adulte, il a poursuivi des études universitaires à l’Université de Louvain.

À la rencontre de la femme de sa vie

Il rencontre une première femme en 1894 et dilapide son héritage, affiche ses idées socialistes, et se fait exclure de l’université.

En 1900, il a rencontré Marie Vandenberghe, une femme au grand cœur qu’il épouse en 1902. Cette dernière a inspiré en 1921 Marie Guyot dans l’héroïne de l’Histoire d’une Marie, une prostituée au grand cœur. André Baillon a aussi raconté aussi les souvenirs de ses meilleurs moments dans Zonzon Pépette, fille de Londres qu’il a publié en 1923. André Baillon s’est installé avec son épouse en Campine, l’endroit où il a été passionné par les activités paysannes d’où le classement surprenant de son style d’écriture comme étant celui d’écrivain paysan. Il a décidé de partir s’installer à Bruxelles, il a été chargé de rédiger de petits articles dans un journal sans véritable tirage. Il a évoqué cette époque de sa vie dans Par fil spécial (1924).

Paris et l’écriture de la folie

En 1912, il part à Paris à la rencontre de Germaine Lievens, la célèbre pianiste.

Il a choisi de passer deux jours de repos à la Salpêtrière suite à un malaise psychique. Il a récité ces évènements dans deux recueils admirablement rédigés, l’un réalisé en 1925 s’intitulant Un homme si simple et l’autre produit en 1926, ayant pour titre Chalet I qui constituent sans doute avec Délires, datant de 1927, la partie la plus intéressante de son œuvre.

André Baillon est considéré comme un écrivain chevronné qui a adopté un style d’écriture traduisant son état psychique, sa folie. Ses livres témoignent de son parcours des malheurs de sa vie vécus quotidiennement. Il rédige avec un ton parodique dans un style humoristique. À la fin de sa vie, en 1930, il a rencontré Marie de Vivier, une jeune poétesse avec qui il se sentait en entente. Il a longuement échangé avec elle des correspondances passionnées et il a fini par nouer une liaison officielle. Il s’est suicidé en 1932 après une première tentative l’année précédente.

Bibliographie

— Moi quelque part… (1920) ;
— Histoire d’une Marie (1921) ;
— En sabots (1922) ;
— Zonzon Pépette, fille de Londres (1923) ;
— Par fil spécial (1924) ;
— Un homme si simple (1925) ;
— Le Pot de fleurs (1925) ;
— Chalet 1 (1926) ;
— Délires (1927) ;
— Le Perce-oreille du Luxembourg (1928) ;
— La vie est quotidienne (1929) ;
— Le Neveu de Mademoiselle Autorité (1930) ;
— Roseau (1932) ;
— Pommes de pin (1933) ;
— La Dupe (1944) ;
— Le Chien-chien à sa mémère (2003).

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Georges Remi, le créateur de Tintin

Georges Remi, le créateur de Tintin

On ne présente plus Georges Remi, le célèbre scénariste et dessinateur de Tintin. À la différence de Peyo, c’était un surdoué, et à l’école c’était un bon élève.

Georges Remi, dit Hergé, est né le 22 mai 1907 à Etterbeek, à côté de Bruxelles. Son père Alexis (1882-1970) travaillait dans une maison de confection pour enfants. Sa mère Élisabeth, née Dufour (1882-1946) était femme au foyer.

L’enfance d’Hergé

De 1914 à 1918, Georges Remi a suivi des cours à l’école communale d’Ixelles. Il excellait dans le dessin et parsemait tous les bas de page de ses cahiers… il a ensuite brillé dans ses études secondaires à l’Institut Saint-Boniface.

Il avait toujours et encore plus la passion du dessin. Il a alors suivi des cours à l’école Saint-Luc, spécialisée dans les arts graphiques, mais il abandonna. Hergé acheta alors des livres pour se perfectionner après avoir abandonné les cours.

Profession scénariste dessinateur

D’abord dessinateur amateur d’une revue scoute, il signe à partir de 1924 ses planches du pseudonyme « Hergé » formé à partir des initiales « R » de son nom et « G » de son prénom. Quelques mois plus tard, il entre au quotidien Le Vingtième Siècle, dont il devient rapidement l’homme providentiel grâce aux Aventures de Tintin. Ainsi la date du 10 janvier 1929 a été marquée par la création de deux personnages qui feront le tour du monde, « Tintin et Milou » dans le « Petit Vingtième ». Deux ans plus tard il crée « Quick et Flupke, gamins de Bruxelles » (première parution le 23 janvier 1930), acteurs de courtes histoires complètes dans le « Petit Vingtième ».

Tintin

Durant les années 1930, Hergé diversifia son activité artistique avec les illustrations de journaux, de romans, de cartes et de publicités, tout en poursuivant la bande dessinée.
Durant la Seconde Guerre mondiale, Hergé publia les aventures de Tintin dans le supplément jeunesse du quotidien Le Soir, alors contrôlé par l’occupant allemand. Cela lui valut quelques déboires et un impact négatif sur sa réputation. On l’accusa même de collaborateur. En 1946, Hergé devint cependant le directeur artistique du journal Tintin, dont le grand succès contribue à celui de la bande dessinée franco-belge et grâce auquel il imposa son style propre. Hergé dirigea alors un studio où travaillaient notamment deux personnages assez célèbres qui, outre leur contribution dans des aventures de Tintin, sont aussi connus comme de brillants créateurs de la bande dessinée franco-belge : Edgar P. Jacobs et Bob de Moor.

Hergé meurt d’une leucémie en 1983.

Il est considéré comme l’un des plus grands artistes contemporains. Plus que 230 millions d’albums ont été vendus après leur traduction dans une centaine de langues. Sa veuve qui s’appelle Fanny Rodwell continue à gérer l’œuvre d’Hergé par l’intermédiaire de sa société Moulinsart, ainsi que par la Fondation Hergé.

Bibliographie

Les aventures de Tintin

— Tintin au pays des Soviets (1929) ;
— Tintin au Congo (1930) ;
— Tintin en Amérique (1931) ;
— Les Cigares du pharaon (1932) ;
— Le Lotus bleu (1934) ;
— L’Oreille cassée (1935) ;
— L’Île noire (1937) ;
— Le Sceptre d’Ottokar (1938) ;
— Le Crabe aux pinces d’or (1940) ;
— L’Étoile mystérieuse (1942) ;
— Le Secret de la Licorne (1943) ;
— Le Trésor de Rackam Le Rouge (1945) ;
— Les 7 boules de cristal (1948) ;
— Le Temple du Soleil (1949) ;
— L’Or noir (1950) ;
— Objectif Lune (1953) ;
— On a marché sur la Lune (1954) ;
— L’Affaire Tournesol (1956) ;
— Coke en Stock (1958) ;
— Tintin au Tibet (1960) ;
— Les Bijoux de la Castafiore (1963) ;
— Vol 714 pour Sydney (1968) ;
— Tintin et les Picaros (1976) ;
— Tintin et l’Alph-art (1986, ouvrage posthume inachevé).

Les exploits de Quick et Flupke

Quick et Flupke Gamins de Bruxelle (1930)
— Les Nouveaux exploits de Quick et Flupke, gamins de Bruxelles, 2e série (1932) ;
— Les Nouveaux exploits de Quick et Flupke, gamins de Bruxelles, 3e série (1934) ;
— Les Nouveaux exploits de Quick et Flupke, gamins de Bruxelles, 4e série (1937) ;
— Les Nouveaux exploits de Quick et Flupke, gamins de Bruxelles, 5e série (1940) ;
— Les Exploits de Quick et Flupke, 1re série (1947) ;
— Les Exploits de Quick et Flupke, 2e série (1949) ;
— Les Exploits de Quick et Flupke, 3e série (1950) ;
— Les Exploits de Quick et Flupke, 4e série (1951) ;
— Les Exploits de Quick et Flupke, 5e série (1952) ;
— Les Exploits de Quick et Flupke, 6e série (1954) ;
— Les Exploits de Quick et Flupke, 7e série (1956) ;
— Les Exploits de Quick et Flupke, 8e série (1958) ;
— Les Exploits de Quick et Flupke, 9e série (1960).

Les aventures du Stratonef H. 22

Le Stratonef H. 22, 1er épisode : Le Testament de M. Pump (1951)
Le Stratonef H. 22, 2e épisode : Destination New York (1951).

Le Rayon du mystère

— Le Rayon du mystère, 1er épisode : Le « Manitoba » ne répond plus (1952) ;
— Le Rayon du mystère, 2e épisode : L’Éruption du Karamako (1952)

Popol et Virginie au pays des Lapinos

Popol et Virginie au pays des Lapinos (1952).

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Peyo, le scénariste de bande dessinée

Peyo, le scénariste de bande dessinée

Le Scénariste des Schtroumpfs, Pierre Culliford, signait ses planches du pseudonyme Peyo. Ce nom lui vient de l’un de ses cousins qui était incapable de prononcer correctement le prénom « Pierrot ».

Pierre Culliford est né le 25 juin 1928 dans une commune de la région de Bruxelles, Schaerbeek. Son père anglais était un agent de change qui prit la nationalité belge lorsqu’il rencontra sa mère wallonne.

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